Enguelade assurée.. [Norah]

Il était dans les environs de vingt heures, Amy revenait tout juste à la maison, bon en soit-même rien de bien extraordinaire mais il fallait penser que c'était une journée en plein milieu de la semaine, donc elle avait cours, elle était sencée être à la maison depuis plus de deux heures et en plus, sa mère était très stricte lorsqu'il sagissait des horaires pour rentrer, donc là, Amy était mal.

Mais vous croyez que celà l'empêche de louper l'heure de rentrer? Et bah non! Elle s'était dit qu'elle inventerait un bon vieux bobard et que comme d'habitude sa mère allait lui faire un de ses sermons assomants, rien de bien extravagant, elle s'en remettra, ce n'est pas comme-ci c'était inhabituel. ais ce n'était pas sa faute, elle avait pratiquement était obligé de ne pas rentrer à l'heure, elle n'était que victime après tout!

Pour commencer, elle avait été collé. Roh son professeur d'Histoire ne comprennait pas l'humour aussi alors ce n'était pas sa faute si il avait mal pris une petite réflexion rigolotte. Alors après son heure de colle qu'elle n'avait bien sur pas annoncé à sa mère, elle était sortie avec quelques amies quelques minutes en attendant le bus qui la rammenerait chez elle, mais à force de discuter, elle n'avait pas vu le temps passer et elle avait donc loupé son bus, pas sa faute si le chauffeur était toujours à l'heure!

Et voilà notre jeune Amy debout devant la porte d'entrée se préparant à entrer et à entendre sa mère lui crier dessus pour son retard "intolérable"! Et après cette remontrance serait suivit de cet habituel, "Moi, à ton âge.." Super maman! Change de refrain un peu! Elle soupira et se lança enfin, il fallait bien qu'elle rentre, et puis peut-être qu'avec un peu de chance Matthéo serait là pour calmer le jeu comme d'habitude.

Elle actionna la poignet, poussa discrètement la porte et entra, heureusement pour elle, la porte d'entrée ne fesait aucun bruit donc elle pouvait être invisible quelques secondes encore. Mais bon elle ne pouvait pas monter comme-ci de rien était en sachant pertinnement que sa mère l'attendait dans le salon. Elle posa son sac dans le vestibule et s'avança dans le couloir.

Je suis rentrée!

En effet, quand elle fut rentrée, Norah n'avait pas vu sa fille alors qu'il était dix neuf heures passés... Celle la je vous jure! Les coups de fils du lycée s'accentuaient au fil de jours et la rendait complètemùent chèvre. Combien de fois sa secrétaire n'avait-elle pas appeler dans son bureau disant: "Il ya le lycée de votre fille en ligne". Déjà c'était pénible mais cela foutait la honte devant ses clients... Bref, elle en avait plus que marre.

Son mari étant en déplacement pour la centième fois, elle était donc seule avec sa fille. Présente dans le salon assise dans le sofa, ecrivant quelques comptes rendu du procès du matin, elle attendait patiemment sa fille... Norah ne l'aviat même pas attendu pour diner tout simplement car il ne fallait pas prendre dle gens pour des imbéciles non plus...

Les minutes passèrent, pusis elle entendit la vois de sa fille, regardant sa montre où les aiguilles était sur vingt-heures... Cela mit encore plus la rage en elle. Se levant et se dirigeant vers la porte d'entrée, elle prit face à sa fille dans le couloir

"AMY CARTER STANFORD!"

Toujours le nom de sa maman bien sûr au début! La regardant fixemement dans les yeux, sourcils froncés. norah était des plus en colère et le faisait bien savoir

"Deux heures de retard! Des retenues à répétition! Des séchage de cours! Tu es mal barrée!"

Oui, la Norah saturait, et elle allait passer à son plan B. Si elle était rentrée plus tôt elle en aurait parler calmement mais la c'était trop. Tendant la main elle réclama ses biens qu'elle allait en être privée.

"Portable, clés"

A peine eut-elle prononcée les trois mots fatidiques qui signés son arrêt de mort par sa mère, le visage de cette dernière apparut devant elle sortant tout droit du salon que l'avait présagé Amy, elle la connaissait trop bien. Sa mère paraissait furieuse, elle avait le visage rouge et ses lèvres étaient pincés, ce qui était le signe distinctif pour montrer que la colère bouillonnait en elle comme un ragout dans une marmitte.

Pour argumenter son hypothèse, sa mère l'appella par son nom complet, une grimace apparut sur le visage de la jeune fille, elle n'aimait pas vraiment quand sa mère commençait à lui percer les tympans avec ses trois noms, merci mais elle pouvait s'en passer très facilement. Elle ne dit rien laissant sa mère s'énerver sur elle, il ne vallait mieux rien dire dans ses cas là, sinon celà ne ferait que mettre de l'huile sur le feu.

Et voilà qu'elle commençait à mettre sur le tapis tout ce qui ne fesait pas d'Amy une petite fille modèle, c'était génial d'écouter sa mère d'éblatérer sur le pourquoi du comment sa fille était une personne des plus mauvaise. Quoi sécher des cours? C'est normal quand on a des professeurs pareils! Et puis elle au moins elle ne séchait qu'un cours par semaine, c'était convenable! Et puis les heures de colle étaient toujours injuste, elle était toujours si calme!

Elle était habituée de ses remontrances, elle y avait le droit très souivent, deux fois par semaine environ, mais par contre cette punition était une première, sa mère ne la punissait jamais, pensant surement que sa fille comprennait la leçon avec une petite enguelade, et bah voilà, les écailles lui tombent des yeux! Enfin ça fesait un peu ch*er qu'elle veuille la priver de protable, c'était son seul moyen de communication avec l'extérieur lorsqu'elle était cloitrée chez elle..

Si tu m'enlève les clefs je fais comment pour rentrer dans la maison? Et j'ai perdu mon portable tout à l'heure!

Non mais le pire c'est qu'elle la prenait pour une débile? Le proviseur qui était au lycée ne mentait jamais et elle savait de quoi elle parlait puisqu'elle l'avait eu elle même. Elle n'avait pas son portable? Enfin perdue... alors la c'était sur elle allait vraiment se moqueser du monde

"T'as le choix, soit je te fouille soit tu me le donne tout de suite!"

Puis elle lui entendis pour ses clés, elle ne put s'empecher de rire légèrement avant de lui faire un grand sourire... Et dans ces moments cela n'était jamais bon signe... et on le vit par sa phrase:

"Tu n'en auras aps besoin puisqu'à présent je t'emmenerais tout les matins et viendrait te chercher tout les soirs!"

Elle vit la mine démésurée de sa fille, la tête se décomposée et sa paleur arrivée, et oui Maman Stanford poouvait être très très sadique quand on la cherchait... Puis elle se dirigea vers les escaliers de la demeure

"Donc je vais débrancher ton ordinateur, ainsi que ta chaine hifi, tout tes magazines poubelles... Et je vais même te payer un tuteur pour tes cours... Si tu n'as pas au dessus de treize de moyenne générale, au prochain trimestre tu ne reverras rien!"

Montant les escaliers, elle prit par la suite la direction de la chambre de sa fille.

Plus sa mère avançait dans ses propos, plus Amy sentait qu'elle perdait le contrôle, sa mère devenait de plus en plus stricte, si elle pensait que sa fille allait se laisser faire, elle se mettait vraiment le doigt dans l'oeil, Amy ne savait pas encore cmment, mais elle allait regretter de l'avoir autantrestreint! Après elle était une adolescente, et pas une petite fille parfaite, ce n'était pas un robot, elle n'allait pas être toujours super, toujours géniale, toujours.. comme Norah..

Ses professeurs, enfin les plus anciens, ceux qui devraient être morts mais qui pourtant persistaient à rester vivant et à enseigner malgrès leur âge plus qu'avancé, ne cessaient de la comparer à la parfaite petite Norah Carter, sa mère était vu comme une femme digne de l'élève qu'elle était, toujours au plus proche de la perfection, et comme toujours ses professeurs ne cessaient de lui dire qu'elle était loin de lui ressembler.

Amy était certaine qu'ils pensaient tous tout bas qu'elle ressemblait à son père biologique, même si sa mère ne lui parlait jamais de lui, elle le voyait bien, elle n'était pas stupide, elle savait qu'elle lui ressemblait en cractère, à qui d'autre de toute façon? Si elle était si différente de sa mère, elle devait bien ressembler à quelqu'un en définitive.. Elle suivit sa mère dans l'escalier après avoir prit son sac qu'elle avait abandonné dans le vestibule.

Quelle fasse son tyran, Amy n'en avait que faire de ses punitions, elle comptait bien lui faire payer ce qu'elle était en train de lui faire subir, elle voulait la punir de tout, Très bien! Qu'elle s'y amuse, mais elle n'allait pas tarder à s'en mordre les doigts, Amy ne savait pas encore comment, mais la vengeance est un plat qui se mange froid non? Elle avait donc le temps d'y réfléchir..

J'ai des magasines sous mon lit, ne les oublit pas!

Mais qu'est-ce qui lui prennait de donner d'autres idées à sa mère? Tout ce qu'elle voulait c'était montrer à sa mère que ses punitions ne l'atteingnaient pas, elle préparait sa revanche, et lorsqu'elle la mettra en application, là elle sera pleine satisfaite, en attendant, elle laissait le plaisir à sa mère de la punir autant qu'elle le désirait!

Norah se doutait bien qque ses anciens professeurs la comparait sans doute à elle-même.. Mais quel professeur ne les faisait pas? Et Norah savait que au fin fond des professeurs étaient déçu des performance de la jeune Amy. C'était dingue devant elle, elle avait l'impression de voir Seth... mais en fille... C'était exactement sa descendance il n'y avait plus de doute... Elle faisait comme lui, mine que cela ne la touche pas, mais fallait pas croire... Petite amie de Seth pendant quelques années, elle savait exactement comment s'y prendre à présent.

Entrant dans la chambre de sa fille qui était vraiment des plus adolescentes, elle débrancha son ordinateur portable qu'elle prit sous son bras, avant d'aller débrancher sa chaine hifi. Posant l'ordi. portable sur le lit, elle mis les magasines dan des cartons ainsi que divers objets. Ecoutant les remarques de sa fille, elle pris ce qui avait sous le lit...

"tu fais semblant que sa te fait ni chaud ni froid! Mais t'inquiètes pas j'ai l'habitude de ce comportement depuis le temps!"

Puis elle reprit l'ordinateur portable de sa fille sous son bras avant de prendre direction la porte mais se retournant une dernière fois.

"ton professeur principale m'a dit que tu avais un commentaire composé a rendre après demain. Tu as interet a le rédiger correctement. Tu avais l'habitude d'écrire sur ordinateur, maintenant tu écrira avec un objet qui s'appelle "Crayon" et aussi une feuille... sa dérouilleras tes articulations"

Le pire, ce que ne comprennait pas sa mère, c'st que ça ne lui fesait réellement ni chaud ni froid, pour elle cette punition la laissait totalement indifférente, comme-ci elle venait tout justede lui dire qu'elle comptait de se laver les mains, une chose futile dont elle se moquait épperdumment. Ce n'était pas seulement une façade pour énerver sa mère même si cette dernière chose était plutôt alléchante.

Elle fit un sourire des plus hypocrite à cette femme qui se prétendait sa mère mais qui devenait chaque jour un peu plus tyran, cette femme qui partait avec le cordon de sa chaine-hifi, son ordinateur portable et ses magazines d'adolescente. Son sourire en disait loin sur le mépris qu'elle avait pour cette femme. Et pour accompagner son sourire colgate des plus ignoble, elle prit un ton mielleux à en vomir.

Je devrais peut-être chercher ce mot dans le dictionnaire, après tout je suis si ignorante!

Elle tourna ensuite le dos à sa mère qui se trouvait au seuil de sa chambre, et s'approcha de son bureau où quelques minutes auparavant se trouvait encore son ordinateur portable, elle s'y assit et plongea dans son sac afin de ressortir une trousse et un classeur plein à craquer du fin fond de ce dédal obscure genre plus sale tu meurt.

De sa trousse, elle sortit un jolie crayon qui bien sur n'avait jamais servit, et elle extirpa aussi une feuille de ce classeur qu'elle n'osait même plus ouvrir de peur qu'il explose à cause de sa trop grande corpulence. Elle s'attacha rapidemment les cheveux d'un geste rapide afin de ne pas être génée par quelques mêches rebelles, et elle commença à écrire, tout ça en fesant comme-ci sa mère n'éxistait plus.

Plus sa allait dans le temps, plus Norah était stricte avec ses punitions, plus sa fille tenait tête... C'était dingue les adolescents maintenant. Plus sa allait dans le temps, plus ils répondaient sans se fier à quoi que ce soit. Marchant vers la porte de la sortie de la chambre de la Miss. Norah se retourna une dernière fois, voyant le classeur épais, elle vit alors que sa fille n'avait aucun sesn du angement, elle voultu soupirer mias bon. Elle vit sa fille se mettre à ses études c'était une bonne chose....

"Ne joue pas à ça avec moi!"

Sur le fait de son sourire, puis de sa phrase. En fin de compte, elle sortit de la chambre de sa fille, fermant la porte, puis descendit quatre a quatre les escaliers, mettant les affaires de sa fille dans la cave et fermant a clé...

Non mais sérieusement? Vous croyez réellement qu'elle allait travailler? Il ne faut pas rêver, un revirement total et aussi catégorique serait bien étrange non? Normal! Elle n'a fait ce petit manège que pour que sa mère lui foute la paix. Elle avait très rapidemment trouvé le moyen de faire palir sa mère jusqu'à ce qu'elle devienne blanche telle une morte. C'était tellement simple qu'elle n'y avait pas penser tout de suite.

Elle se leva dés qu'elle entendit les bruits de pas de sa mère dans l'escalier, elle savait pertinement que cette dernière ne remonterait pas l'embêter avant un moment de peur de la couper en pleine inspiration. Elle laissa ses affaires en plan ne pensant pas que celà serait utile de ranger ce foullit qu'était son bureau lorsqu'elle avait vidé son sac afin de trouver les ustensiles pour faire semblant de travailler.

Elle ouvrit son placard et en sortit une veste plutôt chaude et s'approcha de la fenètre. Son idée n'était peut-être pas la meilleure, mais au moins ça en était une, elle comptait bien faire payer à sa mère ce qu'elle venait de lui faire, la culpabilité d'avoir enguelé sa fille au point que celle-ci fugue devait être une assez belle punition pour ce q'elle venait de lui faire. Un sourire mauvais venait d'apparitre sur les lèvres de la jeune fille.

Elle ouvrit la fenètre, et elle enjamba la bordure de celle-ci. Une fois qu'elle fut assise sur le rebord de la fenètre, ses jambes pendues au-dessus du vide, elle tendit sa jambe droite vers la fine bordure qui se trouvait à sa droite, une fois en équilibre sur celle-ci, elle réussit à sauter avec une remarquable facilité sur le toit du garage. Heureusement pour elle, elle avait déjà fait celà plusieurs fois donc elle savait parfaitement comment faire.

Une fois que ses dux pieds touchèrent le sol, elle sortit du jardin et commença à marcher le long de la rue comme-ci de rien était, elle comptait revenir demain matin bien sur, ce n'était pas une vraie fugue, elle voulait simplement que sa mère est une peur bleue pour elle et qu'elle culpabillise. Rapidemment, elle disparut au détour de la rue.

» Norah Stanford